Jean-Marie Le Pen dénonçait il y a 2 semaines déjà, les sondages qui se plaisaient à faire de François Bayrou le 3e candidat.
On comprend bien que l'arrivée de ce candidat, qui risque de faire basculer le duo en tête, est porteur d'intérêt et fait vendre les médias.
Or, nous apprenons aujourd'hui que la commission des sondages dénonce "une erreur manifeste" dans deux enquêtes CSA.
La première concerne François Bayrou qui talonnait pour la première fois Ségolène Royal.
A 24%, le candidat UDF progressait de 7 points dans cette enquête publiée le 8 mars.
La seconde, publiée le 15 mars, exprimait au contraire un recul de François Bayrou, à 21 %. Tandis que Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal remontaient tous deux d'un point, respectivement à 27 % et 26 % d'intentions de vote par rapport au précédent sondage CSA.
La commission des sondages met en garde le CSA sur l'utilisation des "boostages". La réalité est très différente.
Celà ne déplaira pas à Jean-Marie Le Pen qui explique qu'en 2002, il était 5e dans les sondages à un mois des élections. Il finira 2e à 1 point seulement du 1er.
Ce qui est surprenant, c'est que sur son blog, le candidat FN expliquait ces trucages et déclarait qu'il porterait plainte, si les résultats démontrent que les sondeurs avaient délibérément truqués les chiffres.
La vidéo de Jean-Marie Le Pen avait été tourné avant la révélation de la commission des sondages :
http://www.lepen2007.fr/blog/index.php?2007/03/19/206-journal-de-bord-57
On comprend bien que l'arrivée de ce candidat, qui risque de faire basculer le duo en tête, est porteur d'intérêt et fait vendre les médias.
Or, nous apprenons aujourd'hui que la commission des sondages dénonce "une erreur manifeste" dans deux enquêtes CSA.
La première concerne François Bayrou qui talonnait pour la première fois Ségolène Royal.
A 24%, le candidat UDF progressait de 7 points dans cette enquête publiée le 8 mars.
La seconde, publiée le 15 mars, exprimait au contraire un recul de François Bayrou, à 21 %. Tandis que Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal remontaient tous deux d'un point, respectivement à 27 % et 26 % d'intentions de vote par rapport au précédent sondage CSA.
La commission des sondages met en garde le CSA sur l'utilisation des "boostages". La réalité est très différente.
Celà ne déplaira pas à Jean-Marie Le Pen qui explique qu'en 2002, il était 5e dans les sondages à un mois des élections. Il finira 2e à 1 point seulement du 1er.
Ce qui est surprenant, c'est que sur son blog, le candidat FN expliquait ces trucages et déclarait qu'il porterait plainte, si les résultats démontrent que les sondeurs avaient délibérément truqués les chiffres.
La vidéo de Jean-Marie Le Pen avait été tourné avant la révélation de la commission des sondages :
http://www.lepen2007.fr/blog/index.php?2007/03/19/206-journal-de-bord-57
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