vendredi 1 août 2008

De la Chine jusqu'aux Menottes olympiques


Durant le premier millénaire avant JC, les chinois inventent le système binaire (remarqué par Leibniz) qui deviendra la base de l'informatique. Le Yi Jing est un livre des mutations qui se décompose en 2, 4, 8 éléments de base, 16, 32, 64 variations. Cette bipolarité est l'essence de l'univers, dont nous en avons une représentation avec le ying et le yang complémentaires, concurrents, antagonistes.

Le Confucianisme se dit rujia (Ecole des lettrés). Seuls des fonctionnaires lettrés qui sont les garants de l'ordre se doivent d'appliquer cette philosophie conservatrice. A l'opposé, le taoïsme et le bouddhisme seront plus vivants et spontanés. Kongfuzi (en chinois) né en 551 avant J-C dans la principauté de Lu, passe de nombreuses années au service d'un ministre. Il finit les trois dernières années de sa vie à écrire et à enseigner sa philosophie des relations sociales justes et harmonieuses avant de mourir en 479 avant J-C.
Lors de la dynastie Qin (-221 à -206), Li Si fait arrêter en masse les confucéens et quatre cent soixante d'entre eux sont enterrés vifs. Les tyrans n'ont guère d'imagination et tuent qui pense. La dynastie est trop courte pour imposer sa dictature et se trouve renversée pour fonder la dynastie Han. Le confucianisme devient alors la philosophie officielle de l'Etat. La doctrine allait en profiter autant qu'en pâtir. Certes on l'adapte aux conditions sociales et politiques nouvelles, mais on choisit de préférence les fonctionnaires parmi les gens formés par le confucianisme.
il s'agit toujours de se rapprocher autant que possible d'un idéal, d'un dieu, d'un paradis, exaltés dans le plus lointain passé. De sorte que cette pensée qui à l'origine devait développer en chacun de nous sa « forme maîtresse » allait devenir, en conquérant la Chine, un dogmatisme, une sorte de religion d'État fondée sur le culte du héros et des ancêtres.

Le Taoïsme est né sous cette dynastie Han (-206 à 220). Il puise ses doctrines dans des traditions anciennes comme Huang-Lao, une tradition très connue après Huang Di (Empereur Jaune) et Lao-Tzu, maître de l'époque des Printemps et Automnes, fonde la première école puritaine du taoïsme. L'idée de la "Voie" (Dao) dans son "Livre de la voie et de la Vertu" (Dao De Jing) constitue le fondement du système taoïste.
Philosophie à l'origine, nostalgique des origines, le taoïsme situe généralement l'âge d’or avant l’histoire et les empereurs, supposant une douce communauté paysanne sans ordre politique. La révolte des Turbans Jaunes a fait vaciller la dynastie préfigurant une période de troubles et de grandes migrations barbares. Vers l'an 240, le taoïsme diverge en dào jià (philosophie) et dào jiào (religion). A la chute de la dynastie Han, commence la période des trois royaumes de Shu (蜀),Wei (魏) et Wu (吳) qui s'affrontent pour la domination de la Chine, jusqu'à l'avènement de la dynastie Jin en 265. Pourtant de ces guerres, une église des 5 boisseaux est constituée à base de taoïsme et se poursuit jusqu'à nos jours sous le terme de Maîtres célestes. Mobilisation des foules, retour d'un âge d'or de morale et de religion, effrite l'empire avant l'arrivée du bouddhisme.

Le Bouddhisme commence à se répandre hors de l'Inde par une époque de lente assimilation et d'adaptation durant les 4 premiers siècles de notre ère. L'influence arrive dans les milieux aristocratiques des villes avant de pénétrer dans les campagnes. Méditation, concentration mentale, certaines de ses conceptions philosophiques, le bouddhisme présente des analogies avec le taoïsme.
La presque totalité des traductions de textes bouddhiques en chinois date de la période comprise entre le 2e et le 9e siècle. Les Chinois n'ont retenu qu'un petit nombre de textes sacrés du bouddhisme, mais c'est par l'importance attachée à certains textes célèbres que se distinguent les grandes sectes bouddhiques chinoises. Il faudra attendre le 5e siècle jusqu'au 9e pour atteindre une grande ferveur, à tel point que le bouddhisme fait la conquête de la Corée et du Japon.
Mais une réaction nationale et antibouddhique s'amorce avec Han Yu (768-824). S'ensuit une proscription des religions étrangères entre 842 et 845 qui porte un coup sévère à l'essor du bouddhisme en Chine, avec destruction des œuvres d'Art.
Il faudra la fin de l'époque mongole qui inspirera des mouvements d'insurrection au 14e siècle jusqu'au début du 19e siècle pour voir une expansion dans toute la zone des steppes du bouddhisme tibétain connu sous le nom de lamaïsme.

Le Consensus sinicus, dès le 11e siècle, tient l'univers pour un immense organisme. Il serait insensé de chercher une origine, une cause, une forme, des limites, un sens et une fin. Totale absence de religiosité, seulement une prudence et une modestie devant le spectacle de la nature. Une telle manière de voir est commune au taoïsme, au confucianisme et même à la forme du bouddhisme mahayaniste la mieux assimilée à la Chine : le Chan. L'échange est permanent entre le ciel et la terre, à laquelle appartiennent choses animées et inanimées nourrit de l'énergie "qi" partout régnante. Cette énergie est le fondement de la philosophie de Schopenhauer, pour qui "qi" (souriez et achetez un kiki) est appelé "volonté" véritable substrat qui régit toute chose par le philosophe allemand. Ses détracteurs ne se privaient pas de le traiter de "bouddhiste en Europe". Aucune frontières entre l'homme et l'univers, dans lequel il trempe et subit par le même ordonnancement qui convient à l'extérieur. "Chaque être est autre chose, et même autres choses. Autre encore il deviendra".
"Celui qui parvient à briser la muraille de l'entendement ou, mieux, à la dissoudre en dissolvant l'entendement lui-même pour se retrouver - dès lors sans objectivité - réunifié en tai yi, par une sorte de coalescence que le langage est impuissant à énoncer, celui-là est le zhen ren, « l'homme véritable », « l'homme qui chevauche le vent ». In vivo, il a connu le dao. L'homme ordinaire, enchaîné par les désirs et les passions, l'homme malheureux, l'homme malade, en sont les contraires." Le changement est donc le procès foncier de l'univers et de ce qui s'y déroule : c'est la loi du yin et du yang.

Le Yin et Yang sont des indices dont se trouvent affectées les variations du qi. (volonté ou force qui régit l'univers). Il y a compénétration. Ils sont inséparables et impensables séparément. A l'image du jour et de la nuit, il ne sont pas opposés. Ni Yin ni Yang ne sauraient être absolus, c'est le dao. "La Chine applique à tout ces indices qui lui permettent de signifier des évolutions et des involutions relatives les unes aux autres, des cycles et des périodes, et de tenir tout état de fait pour un équilibre instable, rompu et outrepassé sans heurt sitôt atteint. S'il y a là une dialectique, c'est une dialectique qui va au-delà d'une dualité surmontée et perpétuée à l'infini ; c'est une dialectique réputée naturelle où l'homme, qui en est baigné, n'introduit rien, ni la négation, ni la matière, ni l'esprit."
Toutefois, la conception indienne d'une temporalité homogène est négligée par le chan (bouddhisme en Chine) autant que par le confucianisme et le taoïsme pour lesquels il n'y a de temps que le temps de l'événement.
Pas l'ombre d'une métaphysique religieuse, pas d'âme individuelle, ni Dieu, ni création, ni au-delà, dans la sagesse chinoise. Développement, différenciation biologique, continuité psychique ne sont censées exister que postérieurement à la naissance par l'idéation, l'entendement et à la volonté.
Rites confucéens et cérémonies taoïstes populaires n'ont pas la nécessité d'une transcendance. Mais une proximité symbiotique de l'homme à la terre et au ciel, qui l'imprègnent et auxquels il se soumet. "Il est peu de chose par lui-même ; si peu que rien, pénétré, imbibé par l'univers dont il figure une parcelle passagère, un concours circonstanciel, un incident parmi une infinité d'autres, dont il témoigne à défaut de meilleur témoin. L'homme chinois est poreux. On ne peut perdre de vue cette approche anthropologique si l'on s'intéresse à la Chine, à celle du fondateur mythique, Huangdi, le grand empereur jaune, aussi bien qu'à celle de Mao".

Le Maoïsme se veut un communisme démocratique en harmonie avec le Tiers Monde. Sa terreur n'en est pas moins policière ni moins bureaucratique que celle de Staline.
Né le 26 décembre 1893 à Shaoshan, village de la province centrale du Hunan, Mao voit le jour en même temps que le nationalisme réformiste et révolutionnaire qui abat la dynastie mandchoue des Qing (1644-1912). Avec l'enthousiasme de ses vingt ans, il prend les armes contre ces conquérants. Il se dérobe au projet paternel, à la discipline de l'école, rétif aux institutions et au pouvoir des autres.
En 1919, il obtient un diplôme d'instituteur. Le capitalisme s'affirme, surtout à Shanghai. Les intellectuels dénoncent le carcan des traditions : contre l'emprise du confucianisme, une révolution dans la culture doit ouvrir les portes de l'avenir. Or la même année, l'exemple russe se durcit sous leurs yeux, passant de la démocratie des soviets à la dictature bolchévique.
En 1927, Mao s'éloigne de la pure orthodoxie prolétarienne pour prendre acte d'une dimension plus fondamentale du léninisme : la violence féconde des luttes de classe. Le Maoïsme prend forme lorsqu'il envisage un soulèvement rural à l'échelle de l'ensemble chinois.
En 1935, la longue marche est une étape dans l'ascension de Mao. Il faudra l'invasion japonaise en été 1937 pour redonner à son entreprise l'envergure politique. La perte de la tutelle russe sur le PCC renforce l'innovation du communisme rural.
En 1945, Mao devient président du comité central de PCC. Il développe son pouvoir dans un contexte de sous-développement : "sous son vernis de rusticité, le produit fini apparaît comme la version laborieuse et fignolée des techniques bolcheviques. L'action globale est révolutionnaire ; la révolution, dans son détail, l'est fort peu." De 1946 à 1950, le mouvement lui donnera la maîtrise exclusive des campagnes, construction d'un politique d'une autre espèce.
En 1956, il défend Staline contre Khrouchtchev, tandis que des barons du PCC critiquent le culte de la personnalité. Dans une révolution « ininterrompue », « le politique dirige tout ».
En 1958, le chaos, suit entre 1959 et 1961 la famine (20 ou 30 millions de morts). La militarisation du système politique c'est le pouvoir « au bout du fusil ».
"Les techniques du pouvoir qu'il a élaborées ont précisément fait jouer une opposition entre institutions et mobilisation des masses. Toutefois, puisque les mobilisés sont des dominés, à quoi bon s'ingénier à les répartir entre des classes et à proclamer des luttes entre celles-ci, puisqu'elles ne sont pas autonomes face au pouvoir ? Le socialisme abrite-t-il des contradictions ?"

La Révolution culturelle commence en 1966. Mao peut compter sur la fanatisation des jeunes et sur les laissés-pour-compte d'une société. Une enseignante de philosophie, Nie Yuanzi raconte : "La mise à feu a eu lieu, et toute la jeunesse est lancée dans le mouvement. Les écoles ferment - pour plusieurs années - en juillet, et les étudiants et élèves sont organisés en gardes rouges : ils se diviseront immédiatement en factions concurrentes, fils de cadres et de militaires s'opposant aux jeunes des anciennes classes bourgeoises, du prolétariat et aux intellectuels. En août 1966, le comité central est réuni : mais de nombreux délégués sont empêchés d'y participer, et des soldats les remplacent dans la salle. Au nom de l'« échange d'expériences révolutionnaires », Mao convoque la jeunesse à Pékin. Par millions, bloquant trains, gares et lieux publics, ils affluent vers la place Tian'anmen, où des meetings monstres se déroulent devant l'ensemble des dirigeants, promis pour une part à l'épuration."
Naît l'éphémère presse des gardes rouges, avec son culte maoïste délirant. La chasse aux « révisionnistes » commence, qui sera fatale à de nombreux cadres, mais surtout à la quasi-totalité des intellectuels, artistes et créateurs chinois : battus, déportés ou massacrés, au nom de la lutte contre les « herbes vénéneuses ». Avant la fin de l'année, Peng Dehuai, Liu Shaoqi, Peng Zhen et Deng Xiaoping sont arrêtés, avec des milliers de dirigeants civils et militaires. Si certains sont mis à mort, d'autres auront la vie sauve, ce qui constitue encore une divergence du maoïsme par rapport au stalinisme.
En avril 1969, le IXe congrès du parti, dans une liturgie maoïste, Lin Biao élève Mao au rang de « génie ».
En août 1970, Chen Boda disparaît. La lutte au sommet s'exacerbe, avec Zhou Enlai, Jiang Qing et Lin Biao comme principaux protagonistes.
Le 13 septembre 1971, le monde extérieur apprend progressivement la mort de Lin Biao, deux ans après sa désignation comme successeur de Mao.
En avril 1973, Deng Xiaoping, qui avait été après Liu Shaoqi la cible numéro deux de la révolution culturelle, est réhabilité comme vice-Premier ministre. Ce retour en grâce suit le rapprochement avec les États-Unis de 1972.
"Au Xe congrès du parti, les radicaux lancent un nouveau mouvement : la campagne contre Lin Biao est amalgamée à une dénonciation de Confucius. L'objectif est de dénoncer le conservatisme des « lettrés », c'est-à-dire de Zhou Enlai, et de rendre hommage à Mao Zedong sous les traits de Qin Shi Huangdi, fondateur dynastique brutal qui élimina ces lettrés néfastes du pouvoir. L'offensive culmine au printemps de 1974. La propagande, où les activistes de la révolution culturelle demeurent les plus nombreux, s'en prend notamment au film Chung Kuo du cinéaste italien Antonioni, qui avait été invité en Chine par Zhou Enlai, ainsi qu'à la musique classique, au « révisionnisme » économique, à l'inégalité devant l'éducation et au « droit bourgeois »."
En 1976, Hua Guofeng devient Premier ministre. Mais, à nouveau, les troubles prennent de l'ampleur dans le pays. La réalité du pouvoir devient régionale, et Deng Xiaoping attend son heure. Le tremblement de terre de Tangshan en juillet (250 000 morts) signale la fin d'un règne. Le 9 septembre, Mao Zedong expire. Un deuil d'un mois est décrété, pendant lequel chaque faction se mobilise. Le 7 octobre, Hua Guofeng, renversant ses alliances, fait arrêter la « bande des Quatre » : la veuve de Mao, Jiang Qing, est accusée d'avoir fomenté un coup d'État. Cette date, qui sera considérée officiellement comme une « seconde libération », marque aussi la fin de l'ère maoïste. Une foule en liesse envahit les rues, et participe bientôt à une grande campagne de masse, contre les héritiers de Mao cette fois-ci.

29 commentaires:

Anonyme a dit…

Ingenys tu dis "effrite l'empire avant l'arrivee du bouddhisme",mais le bouddisme est arrive au 1er siecle,et il n'est devenu chinois que 1000 ans plus tard!

Ingenys a dit…

Nous sommes en 265 après JC le taoïsme bat son plein. Le bouddhisme lui prend son essor 300 ans après la mort de Bouddha au 3e siècle avant JC, et c'est maintenant que le bouddhisme fait une percé sur le taoïsme qui est toujours la pensée prédominante. Il n'est pas encore devenu chinois, mais il entre en Chine.

Anonyme a dit…

serait-ce entre le 14ieme et le 19ieme siècle que le bouddhisme c'est combine avec le confucianisme,pour devenir une philosophie,morale et profondément chinoise différente du spiritualisme hindou des origines?
Bonne nuit Ingenys a demain ,car je crois que tu t'es endormi sur le sujet..

Anonyme a dit…

Bon...je parle de Confucius: Pour Confucius, l'ordre politique et l'ordre social ne font qu'un. Les vertus personnelles des dirigeants et des aristocrates garantissent la bonne santé de l'État. L'ordre est maintenu grâce aux rites (li) et à la musique, la musique chinoise de l'époque étant un élément central des rites et des offices religieux. Confucius affirma la suprématie de la musique dans sa fonction rituelle et son pouvoir sur le cœur des hommes. Il appréciait aussi les poèmes de l'ancienne littérature chinoise (dont la plupart étaient récités en musique), dont il vantait la valeur civilisatrice. Il insistait également sur la nécessité de rétablir la justesse des mots et des termes consacrés pour désigner les êtres et les choses comme étant la seule garantie de l'ordre et des distinctions sociales, qui ne pourraient perdurer si elles étaient mal nommées. Un État disposant de la musique et des rites appropriés, sélectionnés parmi les différentes traditions disponibles, produit spontanément des citoyens heureux et vertueux qu'il n'est nul besoin de discipliner par des lois désormais inutiles, en l'absence de conflits. Confucius parcourut en vain la Chine, à la recherche du dirigeant idéal capable d'adopter une telle politique.

L'idée centrale de l'éthique confucéenne se résume dans la notion de ren, traduite par " amour ", " bonté ", " humanité " ou " qualité de cœur ". Ren est la vertu suprême symbolisant les meilleures qualités de l'homme. À l'époque de Confucius, le terme était associé à la classe dirigeante et prit davantage le sens de " noblesse ", mais sa signification s'élargit par la suite. Dans les relations humaines telles que celles qui existent entre deux personnes, ren se manifeste par le zhong, c'est-à-dire la fidélité envers soi et les autres, et par le shu, ou altruisme, exprimé par la règle d'or de Confucius : " Ne faites pas à autrui ce que vous ne voulez pas que l'on vous fasse. " D'autres vertus confucéennes importantes comprennent la droiture, la bienséance, l'intégrité et la piété filiale. Celui qui possède toutes ces vertus est un junzi (" parfait gentilhomme "). Sur le plan politique, Confucius plaida pour un gouvernement paternaliste conduit par un souverain bienveillant et honorable, respecté et obéi par ses sujets. Un dirigeant doit cultiver la perfection morale pour servir de bon exemple à son peuple et attirer de nouveaux sujets dans son royaume. En matière d'éducation, Confucius soutint le principe fort en avance sur son époque féodale, selon lequel " en éducation, il n'y a pas de distinction de classe ".

Ingenys a dit…

Kripto qui s'attache à la pensée. Moi aussi je suis + philo. Mais voila, je pense qu'il faudrait d'abord, dans ce premier article d'intro, situer l'histoire de la Chine. Combien de gens savent si Confucius est né il y a 1000 ans, 2000, 3000, ou 4000 ?
La Chine c'est comme le Pérou, pour les occidentaux, c'est loin. En + c'est du chinois. Déjà rares ceux qui savent quand est né Voltaire que nombreux situe au 19e siècle.
Donc ce serait bien qu'après l'intro historique de la pensée chinoise, Kripto publie au moins les 3 pensées fondamentales (bouddhisme inclus, même si cette leçon de chose n'est pas d'origine chinoise).
Il nous reste que 4 jours je crois avant la cérémonie dont on fera un patacaisse.

Anonyme a dit…

Bien ingenys pour ne pas en faire une tartine je vais faire une synthèse.

Le chamanisme fut la première forme de religion en chine avec le culte des ancetres ,puis au 6ieme siècle avant notre ère,Lao-Tseu fondateur du Taoisme qui prone le respect du corps ,de la vie,de la nature,de l'univers.

Contemporain de Lao-Tseu Confucius(Kong fu zi ou Maitre Kong) fut considerè comme le premier "éducateur" de la Chine,sa doctrine,le Confucianisme ,a ete érigée en "Religion d'état" et ne fut officiellement bannie qu'au XX ièmes.
Selon Confucius,la voie du milieu,la soumission au père et au Prince va de soi,ils garantissent l'ordre et la cohesion des familles et du Pays.

L'éclairage du Bouddhisme ,l'Hindouisme à travers les vèdas texte que les Hindous considerent comme la connaissance révélée existant depuis l'origine du monde.

Les trois grands courants de pensées Chinois sont donc ,le Taoisme,le Confucianisme et le Bouddhisme .

La tradition du Taoisme philosophique ...contemple le vide d'ou jaillit le son primordial,le Ying et le Yang ...
Seule la conscience de "L'identité supreme " de la "Vacuité"permet d'atteindre l'eveil...l'instant donne une idée de l'éternité...Le non agir...Le Taoiste ne s'oppose pas au cours des choses...en parfaite union avec le principe...
Demain développement du Bouddhisme!

ps:excuse moi pour les fautes et les accents mais je suis tellement concentrée lorsque je tape que je fais pas attention...bonne nuit et a demain.

Anne-Laure Donskoy a dit…

Ce qui m'interesserait aussi serait de savoir de quelle region geographique et physique de la Chine ces courants/philosophies/religions viennent. Des montagnes? Des plaines? De ...?

Ingenys a dit…

Il me semblent que les mouvements philosophiques viennent du Nord de la Chine, comme Genghis Kahn vers 1200.
D'ailleurs Confucius est né dans la province actuelle du Shandong qui fait partie de la Chine du Nord.

Quand au 2 fondateurs du taoïsme, je crois me souvenir aussi, à moins que Lao-Tseu vienne de Corse ou d'Itatie, car il est considéré par beaucoup comme un précurseur de l'anarchisme. LOL

Bien entendu le bouddhisme vient de la montagne, donc du Sud-Ouest.

Anne-Laure Donskoy a dit…

Merci. Je me dis que le "terrain" doit parfois jouer sur la reflexion, sur l'ecriture, sur l'inconscient individuel ou collectif.

Anonyme a dit…

Le Bouddhisme

Le bouddhisme primitif est un phénomène à la fois religieux et social,différent en cela de l'hindouisme et des religions dites traditionnelles,le Bouddhisme fut fondé par un personnage historique,Siddharta Gautauma,ne entre 563 ET 566 avant le Christ.Le but de cette communauté de mendiants était de libérer l'homme des chaines que la souffrance et l'impermanence de toute chose imposé à sa vie.
-200 AV L'ERE CHRETIENNE

L'entrée du Bouddhisme en chine fit son apparition sans aucune action d'éclat,par les relations commerciales et donc culturelle entre la chine et l'inde,par la voie terrestre,bien que la barrière de l'Himalaya fut considere comme infranchissable,des fouilles récentes tendent a prouver que c'est que c'est bien par voie terrestre et non maritime que s'établirent les grandes relations culturelles entre les deux pays.
Les chinois conquirent certains pays d'Asie centrale en particulier l'inde,et les premiers Bouddhistes firent alors leurs entrées en chine,mais cette introduction du Bouddhisme fut très limitée.
Son entrée officielle date du 1er siècle de l'ère chrétienne...c'est sous le règne du roi KANISHKA que s'installe la première communauté Bouddhiste .
Les souverains chinois de l'epoque
avaient une volonté pacifique et la paix était voulues de la part de la dynastie impériale de "HAN",et le Bouddhisme étendit largement son influence,c'est ainsi qu'en "140" l'empereur "HUAN" permit que des cérémonies Bouddhiques ,se déroulent en meme temps que des cérémonies Taoistes dans le cadre meme de son palais.
Depuis les textes sacres du Bouddhisme furent traduits en chinois.Le triomphe du bouddhisme en chine durera jusqu'au 10iemes siecles,malgrès des heurts avec le Taoisme.

LES PENSEES BOUDDHISTES

Les Bouddhistes furent séduits par deux aspects particuliers..
-La promesse d'une vie après la mort et la loi des Karmas.
Cette doctrine met l'accent d'une part sur les actions individuelles pour le salut des autres etres,l'objectif étant la délivrance de ce monde de souffrance pour entrer dans le néant du Nirvana.
D'autre part le moi est èphemere puisque tout etre meurt pour renaitre dans un autre corps qui souffrira et renaitra à son tour.Ce phénomène s'appelle le "Samsara Brahamanique"ou cycle des réincarnations.Ce cycle est régi par le Karma ,résultat des bonnes ou mauvaises actions passées.
Comme le Bouddha ne laissa aucun écrit ses fidèles firent réunir ses paroles dans des textes sacres(Sutra)

Anonyme a dit…

Religion Taoiste Elle se présentait sous un double aspect: on trouvait d'une part un système de croyances traditionnelles liées à des cultes agraires (fêtes saisonnières, fêtes de fertilité) enraciné dans la paysannerie, d'autre part un culte aristocratique, issu des mêmes fondements agraires mais marqué par le style de la vie seigneuriale, comportant notamment un culte des ancêtres plus élaboré et plus axé sur les structures sociales.
L'essentiel de cette religion primitive reposait sur les rapports supposés intimes et rationnels entre la nature et la société, l'une comme l'autre obéissant à des principes d'équilibre et à des règles d'alternance. Respecter les rythmes naturels tout en accordant ces derniers à la société devait constituer l'idéal d'une société agricole. La bonne conduite des hommes exigeait donc que l'on accomplît des offrandes, des sacrifices aux divinités chthoniennes, célestes ou aquatiques. Au cours des fêtes paysannes, on célébrait les travaux des champs et la fertilité du sol – parfois par des manifestations licencieuses –, tandis que des rites incantatoires, propitiatoires ou déprécatoires étaient destinés à accueillir l'année nouvelle ou à éloigner les épidémies ou les épizooties
La religion archaïque des Chinois rendait un culte à de multiples divinités, émanations de forces occultes telles que la foudre, le tonnerre ou le vent. Or de nombreux lettrés se mirent à contester cette religion officielle qui devenait une forme de pure négociation entre l'homme et les dieux, réduits à des forces magiques. La religion ne leur semblait destinée qu'à garantir un ordre social et politique. Ils cherchaient une religion nouvelle, qui prendrait davantage en compte l'individu, dans ses exigences spirituelles, ses préoccupations existentielles, notamment celles concernant l'au-delà. D'où l'apparition de nombreuses sectes opposées à la religion officielle, qui s'appuiera désormais sur le confucianisme et son ordre moral et sociopolitique.
La doctrine taoïste se serait ainsi lentement élaborée au sein d'un milieu de lettrés au service de l'aristocratie, les scribes et les archivistes-bibliothécaires seigneuriaux réputés détenir un savoir important, parfois ésotérique. En effet, cette corporation étudiait des écrits touchant à la médecine, à la pharmacopée, à la chimie ou à l'astronomie, autant de disciplines se confondant souvent avec la recherche des élixirs de longue vie, l'alchimie et l'astrologie.
Le culte des esprits
À ce stade, on peut faire du taoïsme religieux l'aboutissement de trois courants de pensée. En premier lieu, on trouve un fonds de superstitions populaires centrées sur la crainte et le respect des esprits, ces derniers symbolisant le plus souvent les énergies naturelles (eau, feu, terre fécondatrice). Toutefois, des sites inaccessibles, inhabituels, dangereux – et donc entourés de mystère (montagnes, grottes) – pouvaient aussi abriter des esprits. Les fantômes, les âmes des défunts se rattachaient à ces mêmes esprits censés posséder des pouvoirs bénéfiques ou maléfiques et qu'il convenait de s'allier par des prières et des offrandes. Sous l'influence du culte des ancêtres fut associé à celui des esprits un panthéon de personnages historiques ou légendaires (Laozi, l'Empereur jaune, l'Empereur de Jade...
L'aspiration à l'immortalité
En second lieu, entre le Ve et le IIIe siècle av. J.-C., on vit se théoriser la croyance à l'immortalité et à la possibilité pour l'homme d'accéder à cet état par le biais de pratiques ésotériques (régulation du souffle, concentration mentale, ingestion de jade, pratiques sexuelles particulières).
Le yin et le yang
Enfin, vers le IVe ou le IIIe siècle av. J.-C., s'élabora un double courant matérialiste, explicatif de l'Univers et de ses mécanismes. D'abord l'école du yin et du yang, mentionnée pour la première fois dans un ouvrage intitulé Discours des États et qui faisait état de deux forces fondamentales du cosmos: d'une part le yang, qui représente l'énergie solaire, la lumière, la chaleur, la force mâle, le positif, d'autre part le yin, qui est lunaire, obscurité, froideur, énergie féminine, passivité. De l'interaction de ces deux notions, de leur équilibre et de leur alternance naissent tous les phénomènes de la nature. Ensuite, complétant le concept précédent, un autre courant, exposé dans le Livre des Documents, interprète la structure de l'Univers par la présence des Cinq Éléments (eau, bois, feu, métal, terre), qui ont leur correspondance dans les saisons, les points cardinaux ou les fonctions biologiques (les Cinq Viscères: cœur, poumons, reins, foie, rate).
De ces courants de pensée spiritualistes ou matérialistes naquit, au IIe siècle apr. J.-C., la véritable religion taoïste.

Anne-Laure Donskoy a dit…

t'es gonfle tout de meme de mettre le maoisme a la suite des religions et philosophies. Ok Maoisme comme religion du peuple, mais c'est pousse!
Maintenant on a Jeux Olympiquoiste: Ferme ta gueule et obeis!

Ingenys a dit…

Bé oui, mais c'est ça la Chine. C'est pleins de contradictions.
Le maoïsme, c'est comme le socialisme, c'est la religion des laissés pour compte. Je vais écrire la suite avec le petit livre rouge, la bible des temps modernes. Enfin, on arrive à la révolution culturelle qui est le ying du yang, la nuit avant le jour : la révolution capitaliste. hé hé !

Ingenys a dit…

L'olympiquoïsme est une bonne idée.
Joue aux billes, pendant qu'on s'occupe de tout. La Chine, merveilleux centre du Monde. Tous ces athlètes de tous les pays qui font mumusent et vitrine de l'empire, sur le dos des expulsés, des muselés et des détenus arbitraires.

Anonyme a dit…

DE LA CHINE AU TIBET
Ce que disent les Tibetains,
En 1949, l'Armée Populaire de Libération occupa le Tibet, juste après la chute du gouvernement nationaliste. Le Tibet redevient une province de la Chine, officiellement gouvernée par le Dalaï-Lama et le Panchen-Lama. Le pouvoir central chinois s'occupe de la défense, des affaires étrangères, des finances et de l'éducation.

L'occupation du Tibet par les troupes communistes de la Chine sur ordre de Mao Tsé Toung avec un durcissement de la politique de la Chine à l'égard du Tibet en 1958, incita le peuple tibétain à se soulever à plusieurs reprises. Le soulèvement de mars 1959 fut férocement réprimé par les communistes chinois. 80 000 Tibétains furent massacrés, les communistes s'acharnèrent particulièrement contre les moines bouddhistes.

Après la défaite de la révolte des Tibétains, le 17 mars 1959, le Dalaï-Lama dont la vie était menacée, décida de s'enfuir vers l'Himalaya de l'Inde, à pied en compagnie de milliers de moines, où il arrive le 31 mars. Depuis, le 14e Dalaï-Lama réside à Dharamsala. Réfugié en Inde où l'ont rejoint plus de 100 000 fidèles, il forme un gouvernement en exil dès 1959. Des résistants — les Khampas, originaires de la région du Kham — réfugiés dans les montagnes népalaises et soutenus par l'Inde et les États-Unis (dans une stratégie d'endiguement du communisme), mènent une lutte armée contre les Chinois. Au Tibet, le Panchen-Lama dirige le gouvernement, avant d'être destitué en 1965.

Les Chinois engagent en 1961 la collectivisation de l'économie tibétaine. Mao fait construire des routes et des écoles mais la scolarisation est faite en langue chinoise, l'usage du tibétain n'étant toléré que dans le cadre de la famille. Des dizaines de milliers de femmes tibétaines sont contraintes par la force à épouser des colons chinois, des milliers d'autres ont été envoyées dans les bordels militaires de l'armée chinoise.

Le 9 mars 1961, le Dalaï-Lama lance un appel aux Nations unies en faveur d'une restauration de l'indépendance du Tibet.

En 1966, la Révolution culturelle se traduit par un durcissement de la répression anti-bouddhiste et de nombreux vestiges du passé et de l'influence religieuse sur les tibétains sont détruits par les Gardes Rouges. On estime à un million de morts tibétains, (soit un sixième de la population) le bilan de la répression maoïste. D'autre part, depuis 1989, la Chine utilise le Tibet pour entreposer ses déchets nucléaires. En mars 1989, la loi martiale est décrétée par le secrétaire provincial du Parti communiste Hu Jintao.

Ce que disent les Chinois,
Dans l'Histoire, le Tibet et l'empire chinois ont toujours eu des liens forts, par exemple la fonction de premier Grand Lama (futur Dalaï-Lama) a été instaurée par l'empereur de Chine mongole Kubilai Khan.

Avant 1959, le Tibet était une théocratie féodale, dirigée par les grands propriétaires terriens et les prêtres. La majorité de la population rurale avait un statut de serfs ou de paysans, avec une minorité d'esclaves. Une justice sommaire et partiale était rendue par le seigneur ou le Lama, comprenant torture et mutilations. L'occident préfère nier ce vieux Tibet, et croire à une société harmonieuse, tournée vers le bouddhisme.

De 1840 à 1949, les guerres avec les pays colonisateurs et la guerre civile ont bouleversé la Chine entière. Les provinces contrôlées par l'étranger se faisaient la guerre, et le Tibet a cédé aux colons britanniques. Mao et le PCC ont libéré le pays des étrangers. Le Dalaï-Lama actuel est le symbole de cette aristocratie qui a cédé face à l'envahisseur, une honte nationale.

A partir de 1966 et jusqu'à sa mort, Mao a lancé dans toute la Chine la Révolution culturelle. Dans toute la Chine, tout ce qui est culturel (édifices religieux, livres, ...) a été détruit, notamment des temples bouddhistes au Tibet.

Si certains paysans tibétains veulent le retour du Dalaï-Lama, aucun ne souhaite le retour de l'ancien ordre des classes d'avant 1959.

Anonyme a dit…

shu ming là zhuàxià jintiàn zong dé shi là zhuaxià zuo tiàn

Pour comprendre la Chine d'aujourd'hui,il faut connaitre la Chine d'hier.
De Kripto (il faut au moins mettre quelque chose en Chinois )

Ingenys a dit…

Je ne parle pas le mandarin. Qu'est-ce donc que ça veut dire ?
Et je la mets où cette phrase ?

Anonyme a dit…

Ouverture des Jeux Olympiques
Pékin 8 Aout 2008

Nul doute que la cérémonie des jeux Olympiques soit magnifique ,sublime,et meme je pense que que certains trouverons cela irréel....croyant se trouver sur une autre Planète.
Une planète ou tout serait en harmonie avec la nature.
L'homme aimant l'homme,l'homme s'occupant avec tendresse et amour de cette nature qui a été mise entre ses mains pour la choyer,la chouchouter,pour s'occuper de la faune,de la flore des mers et des océans,car l'homme de cette planète ,sait que de ses équilibres dépend sa survie.
L'homme qui travaille d'abord pour ce nourrir subvenir aux besoins de sa famille avoir le nécessaire sans pour cela écraser son voisin,le réduire à peu de chose pour en retirer une gloire,un statut ou un quelconque titre...
Une planète ou tous les peuples se tendent la main,ou aucun n'est meilleur que l'autre,mais égal a l'autre, qui commercent les uns avec les autres,qui échangent leurs savoirs,leurs cultures,leurs joies et leurs peines,mais toujours en gardant a l'esprit l'harmonie et la justice des choses.....
Dernière notes de musique,la planète c'est évaporée et la réalité vient s'écraser comme une chape de plomb ,pour faire taire ceux qui oseraient élever leurs voix .....

Anonyme a dit…

La traduction est Jointe RETRADUCTION:
"Pour comprendre la Chine d'aujourd'hui,il faut connaitre la Chine d'hier"

OH Ingenys fait travailler tes neuronnessssssssss!!!!

Anonyme a dit…

Première journée aux JO
Zéro pointé pour la France!
Les 40 médailles préconisées par nos chers ministres sont mal barrées!!
Il est vrais qu'on ne doit pas s'attendre a des miracles et nous avons un indice de taille...Carla n'a pas été sélectionnée pour le lancer de disque....
Par contre et malheureusement nous avons eus droit a un Kamikaze qui a fait deux victimes (2 américains)espérons qu'ils seront les seul et que les jeux se déroulerons comme il ce doit dans l'optique du sport et seulement du sport...vive les olympiades!!!

Anonyme a dit…

Heureusement que tu me corrige "Olympiade"unité de temps n'a rien a faire là ou je l'ai mis....
Dit donc..faudrait peut-etre que toi aussi tu poste un peu?

Ingenys a dit…

Comme tu vois, je suis très demandé par mon rôle d'hôte, pris par des invités, toute la journée ce dimanche.
Je vais essayer de faire un article pour lundi.
Mais ça tombe bien ton sujet sur le zéro pointé, car j'ai tellement rigolé de la déception des français qui n'avaient aucune médaille en cette première journée.
C'est le sujet que j'aurais fait si j'avais eu le temps pour en rire.
Tu l'as fait avec bcp de talent, ça m'aide sérieusement.

Anonyme a dit…

Ingenys tu va rigoler,mais lorsque je regardais les sportifs cette premiere journee une pensée a traverse mon esprit,"ils vont faire exprès d'avoir de mauvais résultats" puisque on leur interdis de manifester de quelques manières que ce soit il ne donneront pas a la France et en particulier au N°1 l'occasion de se Glorifier avec Bernard Laporte.....nous verrons bien?

Ingenys a dit…

Malheureusement, je crains qu'un sportif, ça ne pense pas loin.
Faire exprès de perdre, c'est quasimment impossible.
Seul un philosophe peut faire exprès de perdre dans une partie d'échecs, car pour lui la vanité ne compte pas ou un Dalaï Lama qui montre un sourire alors qu'au fond de lui même il porte en son esprit des centaines de tibétains en fuite qu'il a reçu personnellement un par un de l'autre côté de l'himalaya pour leur donner une aide de reconstruction.
Je revois ces femmes pleurer, qui ont tout perdu et embrasser la main de leur sauveur qui représente leur dernier espoir bloquant tout suicide. Alors que le Dalaï Lama vient de leur remettre une enveloppe pour leurs premiers pas dans un autre monde.
C'est autre chose que la genouflexion au pape qui ne donne que l'ostie.

Anonyme a dit…

Parait-il que Laure Manaudou après avoir fait son speech hier aux journalistes,un de cela l'aurait surpris entrain de rire aux éclats dans le véhicule qui l'a ramené ?????????????????

Anonyme a dit…

3:-))

Ingenys a dit…

Je n'aime pas cette cruche. Lemurien dit que les français l'aime autant que Mère Théresa.
Par contre Federer a bien l'intention de prendre sa revanche au JO. Il arrive en 8e de finale.
C'est bien plus intéressant.

Ingenys a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Ingenys a dit…

Très bien donc n'oublie pas nos facebook.
Thierry devrait nous rejoindre
Je t'embrasse pour ce soir.